Au final la bête juste sortie du four :
Et maintenant, la découpe, avec un bon couteau et un minimum d'expérience, pas de problème, la peau est croustillante, gorgée de parfums, la chair est tendre et goûteuse, décidemment, j'adore le canard...
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Et maintenant, la découpe, avec un bon couteau et un minimum d'expérience, pas de problème, la peau est croustillante, gorgée de parfums, la chair est tendre et goûteuse, décidemment, j'adore le canard...
A 4 personnes, on peut prévoir 1 canard qui, à mon avis, remplace plus qu'avantageusement la grosse dinde (malgré que chaque année on dit ''elle est parfaite cette dinde, vraiment pas sèche cette fois...'', eh bien moi, je la trouve toujours sèche cette dinde !)
Donc, je prévois cette année de cuisiner un canard à l'orange, recette traditionnelle française d'une de mes tantes originaire du sud.
J'ai fait une légère erreur en l'achetant chez un grossiste qui me l'a vendu non vidé (arrgh !!!), donc, à moi cette opération bien peu ragoûtante (poisson-chat, j'ai bien pensé à toi...)
La bête avant : Une magnifique canette de barbarie de 2 kilos, avec la tête, les pattes, les plumes sur les ailes et tout et tout à l'intérieur...
Donc, je me documente un peu sur le net et dans mes livre de cuisine, et trouve la méthode adéquate pour vider cette bête (c'est la première fois que j'opère). Je coupe la tête, pare le cou, coupe les pattes, un bout des ailes, et enfin, l'opération la plus sanguinolante, le vidage des viscères... une main enfoncée dans la cavité abdominale, on ne réfléchit pas trop dans ces moments-là... Je sors tout, rince un peu l'intérieur et voilà le travail !
A côté, les déchets, finalement je pense que je m'en suis pas mal tirée ! :
Aujourd'hui, la confection d'un fond de volaille avec les abats, légumes, os de veau etc... vraiment agréable après la boucherie d'hier...
La suite au prochain épisode...
Des palmiers-dattiers, des oliviers au milieu desquels se niche une petite ville de 23'ooo habitants encore bien préservée de notre monde industrialisé
Départ en 4x4 (bien plus utile ici que sur nos routes goudronnées) pour les dunes dans des paysages à couper le souffle
Les dos se courbent, les caisses s'empilent et valent leur pesant d'or... En route pour le pressoir, où le précieux chargement ne tardera pas à être pesé et pressé.
Une journée extraordinaire, une expérience unique malgré des dos un peu douleureux et, d'ici quelques mois, le produit de notre récolte, un Calamin qui s'annonce d'ores et déjà, au vu de la qualité de la récolte d'une excellente année.
Bon, mais c'est pas tout ça, il va falloir rentrer bredouilles autant l'accepter. Nous décidons de rebrousser chemin, et, soudain, là, par terre, on manque d'écraser un joli petit bolet qui à lui seul aura justifié notre ballade :
Voilà enfin que depuis le premier juillet on respirait dans les lieux publics, qu'on n' avait plus besoin de subir la fumée des autres, les cendriers débordants et puants, qu'on ressortait du bistrot sans avoir nos habits imprégnés de cette détestable odeur de nicotine, et voilà qu'en raison d'un vice de procédure concernant l'application de cette norme anti-tabac dans les lieux publics, retour en arrière à la plus grande satisfaction des fumeurs accros...
J'espère bien que la plupart des restaurateurs auront l'intelligence de garder leurs lieux non-fumeurs et qu'ils ne viennent pas avec leur argument bidon de baisse de chiffre, ce n'est en tous cas pas ce que j'ai constaté.
Pour ma part, au moment de la réservation d'une table, je poserai la question de savoir si le restaurant est non fumeur, et dans le cas d'une réponse négative, je déclinerai ma réservation. J'espère que je ne serai pas la seule à agir de la sorte.
Préparer les crevettes, ôter les carcasses, supprimer le boyau et bien les rincer. Les hacher rapidement ainsi que le blanc de poulet.
Bien mélanger avec le reste des ingrédients.
Dans un petit bol, mélanger 1 cuill. à soupe d'eau et 1 1/2 cuill. à café de maïzena.
Préparer les carrés de pâte, disposer au centre une noix de farce, et à l'aide d'un pinceau, mettre un peu du mélange maïzena (qui sert de colle) sur chaque angle du ravioli.
Replier les quatre coins ensemble et enrouler la pointe. Renouveler avec toute la farce.
Voilà le résultat :
Ensuite on place tous les raviolis pour environ 20 minutes au congélateur.
La cuisson se fait soit en friteuse, soit pour ma part, dans mon panier vapeur une vingtaine de minutes.
Servis avec une petite sauce aux piments douce, résultat vraiment délicieux et d'après mes hommes je n'ai rien à envier aux meilleurs restos asiatiques... (c'est vrai que parfois on nous sert des raviolis farcis d'on ne sait quel mélange dur et insipide)
Faire chauffer l'huile d'olive dans une grande poêle, faire revenir la viande, les oignons émincés et l'ail coupé. Ajouter les épices, bien remuer.
Couper les tomates grossièrement, les ajouter à la viande ainsi que le concentré de tomates, le bouillon de boeuf, et l'eau. Couper la moitié du bouquet de coriandre et l'ajouter au tout.
Baisser le feu, couvrir et laisser mijoter 40 minutes.
Laver les courgettes, les couper en rondelles de 1 cm d'épaisseur, verser dans la poêle.
Laisser cuire encore environ 30 minutes. Si trop liquide, découvrir.
Au moment de servir, ajouter le reste de la coriandre et accompagner simplement de graines de couscous.
On s'y croirait !
Émincer finement le filet mignon de porc, le saisir dans l'huile chaude jusqu'à légère coloration. Mettre de côté.
Faire revenir l'ail et l'es oignons frais dans le wok, ajouter la viande, l'ananas coupé, la sauce poisson, le jus de citron vert. Bien remuer et ajouter le basilic thaï et les feuilles de coriandre émincés
Pour 6 verrines, il faut :
- 500 grammes de belles fraises
- 2 dl de crème
- 200 grammes de fromage blanc
- 2 cuill. à soupe de sirop de grenadine
- 1 sachet de sucre vanillé
- menthe pour décorer
Une fois les papillotes terminées, je les place dans mon panier vapeur, pour une dizaine de minutes au dessus d'une casserole d'eau.
Pendant ce temps, je prépare des nouilles sautées, que j'agrémente d'oignons frais, coriandre, oignons frits, cacahouètes grillées et d'un oeuf battu mélangé avec un peu de sambal.
Et voilà, plus qu'à ouvrir mes papillotes, et disposer les crevettes sur les nouilles, et c'est bon !
C'est tout beau, joli, je mets le courant, vais me coucher et il y a plus qu'à attendre.
Le lendemain matin, je mets ces jolis bocaux qui ont bien ''pris'' dans le réfrigérateur pour quelques heures, un yogourt, ça se mange froid donc encore un peu de patience.
Puis, vient le moment attendu, je prends une cuillère, l'enfonce dans la masse et voilà ce que ça donne, une texture bien ferme, les petits grains de vanille apparents (on ne parle pas ici ''d'arôme vanille''), c'est du vrai, de l'authentique et pour quelques instants on se retrouve plongé en enfance.
Ils se laissent bien vite manger ces petits yogourts, rapidement, il ne reste plus que ceci ;